LA VIRGINITÉ: SES CONSÉQUENCES

Une étude américaine  de 2016 réalisée par Amanda N. GesselmanThe Kinsey Institute, Indiana University, Bloomington Gregory D. Webster Department of Psychology, University of Florida Justin R. Garcia

The Kinsey Institute and Department of Gender Studies, Indiana University, Bloomington et publiée dans le Journal of Sex research,  a montré que sur le marché du « dating » la virginité est plutôt considérée comme un inconvénient.Aux USA, (comme dans l’ensemble des pays occidentaux, d’ailleurs) l’activité sexuelle débute chez le jeune adulte à la fin de l’adolescence. 

Cette étude tente d’évaluer les répercussions de la virginité chez l’adulte lors d’une rencontre amoureuse. 

La prévalence, c-a-d le nombre de vierges aux USA  est évaluée à 1,1 million hommes et 800 000 femmes âgés de 25 à 45 ans, d’orientation hétérosexuelle; compte tenu des difficultés de celle-ci, ces chiffres sont probablement sous-évalués. 

Quant au nombre d’homosexuels, la prévalence est difficile à évaluer; mais il est fort probable qu’ils et elles soient moins nombreux(ses).

A la suite de trois études, nous observons que la virginité est responsable d’un sentiment de dévalorisation.  En effet les vierges se sentent stigmatisés du fait de leur inexpérience sexuelle et vont mettre en place une stratégie d’évitement alors qu’ils auraient pu rencontrer un partenaire identique. Même s’il semble que l’absence d’activité sexuelle puisse apporter quelques avantages sur la santé, l’étude montre qu’un retard dans ses relations sexuelles est responsable d’une  mauvaise image de soi d’une perte de confiance, d’un sentiment de défaite et  va avoir des conséquences négatives, en limitant les possibilités de rencontres amoureuses.

Il serait intéressant de refaire cette étude aujourd’hui en 2024 et d’en  comparer les résultats.

Qu’en est-il en France et dans les pays de culture latine, musulmane, asiatique? Quelle est l’influence de la religion?

Le débat est ouvert

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La Virginité stigmatisée!

Lys

Une étude américaine  réalisée par Amanda N. Gesselman The Kinsey Institute, Indiana University, Bloomington

Gregory D. Webster Department of Psychology,University of Florida

Justin R. Garcia The Kinsey Institute and Department of Gender Studies, Indiana University, Bloomington

et publiée dans le Journal of Sex research, montre que sur le marché du « dating» la virginité est plutôt considérée comme un inconvénient. Aux USA, (comme dans l’ensemble des pays occidentaux, d’ailleurs) l’activité sexuelle débute chez le jeune adulte à la fin de l’adolescence. Cette étude tente d’évaluer les répercussions de la virginité chez l’adulte lors d’une rencontre amoureuse. La prévalence de vierges aux USA  est évaluée à 1,1 million d’hommes et à 800 000 femmes âgés de 25 à 45 ans, d’orientation hétérosexuelle; compte tenu des difficultés de celle-ci, ces chiffres sont probablement sous-évalués. A la suite de trois études, nous observons que la virginité est responsable d’un sentiment de dévalorisation. En effet les vierges se sentent stigmatisés du fait de leur inexpérience sexuelle et vont mettre en place une stratégie d’évitement alors qu’ils auraient pu rencontrer un partenaire identique. Même s’il semble que l’absence d’activité sexuelle puisse apporter quelques avantages sur la santé, l’étude montre qu’un retard dans ses relations sexuelles est responsable d’une perte de confiance, d’un sentiment de défaite et  va avoir des conséquences négatives, en limitant les possibilités de rencontres amoureuses.

Le Clitoris

On pensait à la lumière de recherches sur l’animal que le clitoris féminin contenait 8000 terminaisons nerveuses. En effet, jusqu’à cette étude récente aucune recherche n’avait été réellement faite sur l' »organe » de la femme.

Des échantillons de nerfs dorsaux du clitoris (DNC) ont été prélevés sur 7 patients trans masculins qui subissaient une chirurgie de phalloplastie. 

On a pu ainsi découvrir que chaque branche du clitoris possédait une moyenne de 5140 terminaisons nerveuses soit un total de 10280.

Ce qui permet de mieux comprendre sa très grande sensibilité

une évaluation histomorphométrique du nerf dorsal du clitoris. Le Journal de médecine sexuelle, 20(3), 247-252. https://doi.org/10.1093/jsxmed/qdac027

 

Anatomie

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