Ce mot n’est pratiquement plus utilisé, du moins, dans le milieu professionnel. Il désigne, surtout chez la femme, car il est rare qu’un homme soit frigide, l’absence de désir et de plaisir. Les causes en sont multiples, isolées ou associées. Une altération de l’état général retrouvée dans de nombreuses maladies comme le cancer peut en être responsable. Il existe des maladies hormonales comme l’hypo ou l’hyper thyroïdie. Bon nombre de médicaments peut avoir un impact négatif sur la libido: des psychotropes comme les antidépresseurs, les dérivés opiacés, etc…
Mais la plupart du temps, la frigidité est la conséquence d’une problématique psychique personnelle ou relationnelle: anxiété, inhibition, dépression, mésentente conjugale.
La frigidité est rarement irréversible. Elle nécessite souvent une « sexothérapie ». Car il n’existe, à ce jour aucun médicament efficace. La Flibansérine a eu malgré tout son autorisation sur le marché américain, bien que les résultats ne soient pas probants. Elle n’est pas autorisée en France.
Certaines substances, drogues et médicaments sont utilisés (chemsex) pour leur action désinhibitrice sur la sexualité afin d’améliorer les « capacités » ou « performances » sexuelles. Mais ne résout en rien l’absence de désir ou de plaisir. Il n’est pas sans danger.
L’émission rapide du sperme après la pénétration est loin d’être anormale. C’est un mécanisme réflexe qui survient la plupart du temps lorsque l’excitation sexuelle a atteint une certaine intensité. L’homme est en effet programmé physiologiquement pour éjaculer en 30 à 60 secondes. Malheureusement, compte tenu que sa finalité n’est plus essentiellement procréatrice, la partenaire n’y trouve vraiment pas son compte.
L’éjaculation prématurée ou rapide est excessivement fréquente. Quatre hommes sur dix souffriraient de ce problème. Ce qui ne veut pas dire que les autres maîtrisent tous bien le moment de survenue de l’éjaculation. Maîtriser son éjaculation n’est pas naturel, mais le fruit d’un apprentissage qui demande un peu de temps et fréquemment l’aide du sexotherapeute.
L’éjaculation retardée ou même l’absence d’éjaculation sont souvent retrouvés chez des personnalités rigides qui ne supportent pas l’idée de ne pas maîtriser cet acte réflexe. Mais elles sont aussi secondaires, à une maladie du système nerveux, à la prise de certains médicaments comme les anti-dépresseurs, et aux interventions chirurgicales sur la prostate. Lors des suites d’intervention pour adénome de la prostate (assez fréquente chez l’homme vieillissant), l’éjaculation est souvent rétrograde s’effectuant dans la vessie.
Il est important de savoir qu’éjaculation n’est pas synonyme de jouissance ou d’orgasme chez l’homme. Certains mécanismes réflexes comme une forte émotion (une peur intense) peuvent la provoquer.
Il ne faut oublier de mentionner l’éjaculation féminine qui est bien une réalité pas très fréquente. Elle a pu faire couler beaucoup d’encre (suivez le lien ci-dessus pour en savoir plus.
La dyspareunie est une douleur dont vont se plaindre certaines femmes au moment de la pénétration.
Il peut s’agir d’une dyspareunie orificielle. Lors d’une tentative de pénétration, certaines femmes vont contracter involontairement des muscles situés à l’entrée du vagin: les releveurs de l’anus et les constricteurs de la vulve. La pénétration va être impossible ou douloureuse. C’est ce que l’on appelle un vaginisme. Il peut être responsable de mariages ou d’unions non consommées. Une sexothérapie utilisant l’hypnose permet, en général, de résoudre ce problème en quelques séances.
Le vaginisme est fréquent voire habituel chez la jeune femme lors de son premier rapport sexuel. Ce n’est pas la déchirure éventuelle de l’hymen qui en est responsable. En effet celui-ci n’est pas innervé et peu vascularisé. C’est l’appréhension ou l’anxiété qui provoque une contraction réflexe des muscles du périnée.
La dyspareunie profonde est une douleur ressentie, non pas lors de la pénétration, mais plutôt au fond du vagin. Les causes les plus fréquentes sont la rétroversion utérine (l’axe de l’utérus est dans l’axe du agin, alors qu’habituellement ils forment un coude, l’extrémité du pénis va heurter le col de l’utérus lors de la pénétration) et l’endométriose.
L’endométriose est une invasion ou diffusion du tissu endométrial (qui tapisse normalement l’intérieur de l’utérus) en dehors de celui-ci, plus particulièrement dans le petit bassin. Elle est responsable de dysménorrhées (douleurs au moment des règles), mais aussi lors des rapport sexuels. La solution à ce problème est médicale ou chirurgicale et nécessite souvent des examens complémentaires (échographie, IRM).
Il existe d’autres causes de dyspareunies comme les vulvodynies, vaginites infectieuses, cancers, etc… . Il est préférable de consulter son médecin.
C’est une petite intervention chirurgicale ou non car pratiqués dans certaines cultures de manière « artisanales », non médicale; la circoncision a pour but d’enlever la totalité du prépuce, pour des motivations essentiellement culturelles ou religieuses et parfois (dans de rares cas médicales). Pratiquée au 8ème jour dans la religion juive, elle se fait à 13 ans en islam. Elle a été, pratiquée également pour des motifs »hygiénistes »chez les nord-américains jusqu’à une époque récente. Elle n’a en fait aucune justification sexologique (elle n’améliore pas une éjaculation prématurée), ni même infectieuse.
Clitoris
Le clitoris est un « petit » organe érectile du moins dans sa partie visible, le gland, qui a sa sensibilité propre et que la femme peut exciter par masturbation. Cette excitation peut être réalisée par différents moyens: main, langue sextoys ou encore en serrant de manière rythmique les cuisses croisées (appelé technique du sciage), jusqu’à l’orgasme. L’essentiel de l’innervation « voluptueuse » se situe au niveau du gland. Les corps caverneux ou les bulbes spongieux, de par leur turgescence (gonflement) lors de l’excitation vont augmenter la sensibilité du gland lors des mouvements de va et vient au cours de la pénétration et permettre la jouissance. Ils n’ont pas une sensibilité propre. La femme peut agir sur son clitoris au cours du rapport sexuel en adoptant une position lui permettant de serrer les cuisses. La taille du sexe masculin, dans son diamètre, peut jouer aussi un rôle. En fait, comme cela est parfaitement décrit dans le Kama Soutra, l’idéal est que le lingam et le yoni soient adaptés l’un à l’autre. Entre le clitoris et son capuchon, se forme une substance blanchâtre, le smegma ( mélange de desquamation et de sécrétion). C’est parfaitement naturel et disparaît facilement avec une toilette intime non agressive; l’eau et le savon suffisent.
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Aussi bien chez l’homme que chez la femme, elles peuvent être dues à une IST (infection sexuellement transmissible): herpès, mycose, etc…, mais aussi à des dermatoses irritatives. L’épilation intime peut en être responsable surtout si elle est réalisée à la « barbare » c-a-d par soi-même (rasage, cire chaude, crème épilatoire). Il faut bien comprendre que la pilosité pubienne à une raison d’être! Ce qui ne veut pas dire qu’il ne faut pas l’entretenir.
Il existe également une autre cause de brûlure chez la femme. Elle est provoquée par un certain degré de vaginisme: l’appréhension, le stress au moment de la pénétration peut provoquer une contraction réflexe des muscles du périnée (releveurs de l’anus et constricteurs de la vulve). Modérée, ce seront surtout des brûlures; plus importante ce seront des douleurs ou une impossibilité à la pénétration. Elle s’accompagne en général d’une insuffisance ou absence de lubrification vaginale qui aggrave la situation.
A la suite d’un rapport sexuel prolongé surtout avec préservatif, il est fréquent pour la femme de ressentir des brûlures vaginales. Elles n’ont pas de caractères infectieux, mais dues à une irritation de la muqueuse par frottement; il est classique d’observer ensuite quelques pertes plus abondantes. Ce n’est pas une mycose, donc pas de traitement. Ce n’est pas la peine d’agresser encore plus cette zone devenue sensible.
Enfin, il existe la cystite post-coïtale qui survient à la suite de rapport sexuel prolongé ou insuffisance d’excitation. La lubrification étant insuffisante, il y aura ouverture du méat urétral lors de la pénétration favorisant le passage de germes cutanés banaux sur la peau, mais infectieux pour l’urètre. Il est facile de les prévenir et de les éviter avec un bon gel lubrifiant.
Il n’y a pas grand chose à dire du bisou, si ce n’est que depuis quelques temps avec le Covid, il est moins fréquent. Le Baiser profond ou « French Kiss, ou encore le baiser amoureux » pour les anglo-saxons, ce contact des deux langues représente toujours la première étape du contact fusionnel entre deux personnes qui s’aiment. Apprécié pour sa valeur symbolique et émotionnelle en occident, il peut être perçu comme sale voir « dégoutant » dans d’autres cultures. Il est d’une grande diversité et il n’y a pas à proprement parlé de mode d’emploi. Pour anecdote, il y a quelques années, un jeune homme m’a demandé dans quelle sens faut-il tourner la langue? Dans les deux lui ai-je répondu en souriant! Bien fait il peut être source de beaucoup de plaisir. On peut le considérer comme un prélude amoureux ou faire partie des préliminaires, ce qui n’est pas exactement la même chose.
Le baiser profond peut néanmoins transmettre, rarement, des germes infectieux, s’il n’existe pas de lésion bucco-dentaire, tel celui qui est responsable de la Mononucléose infectieuse dite à tort « maladie du baiser ». C’est plus une maladie de l’adolescence ou de la jeunesse, des premiers contacts! Il faut savoir que la salive joue un rôle protecteur, non négligeable contre les contaminations. Mais, à la moindre lésion comme l’herpès labial ou infection respiratoire comme la grippe, ou le Covid, il est plus que prudent d’éviter ce contact intime. A ma connaissance, il n’y a pas de preuve de transmission du VIH lors du baiser.
Il existe un certain nombre de livres ou d’articles sur le baiser: https://www.philomag.com/livres/contribution-la-theorie-du-baiser
Des petites lèvres très développées chez la femme, une pigmentation ou couleur plus foncées de la peau des bourses et du scrotum chez l’homme, des petite boutons blancs à la couronne du gland ne peuvent et ne doivent pas constituer une gêne dans la vie amoureuse. Le désir et la plaisir sont plus dans la variété que dans la ressemblance! La chirurgie nymphéale ou des petites lèvres est plus une question de mode liée à la pornographie qu’une nécessité, sauf dans quelques rares cas.
En revanche une « brièveté du frein », ce petit filet sous le gland qui relie le prépuce à l’extrémité du gland, peut favoriser une éjaculation prématurée. De même, un phimosis qui est une impossibilité de décalotter le gland de son prépuce peut être responsable d’infections, ou de douleurs lors des rapports sexuels. Dans un cas comme dans l’autre, une petite intervention chirurgicale permet de remédier facilement à ces anomalies.
Un cas particulier est la rupture d’un frein un peu court lors de rapports sexuels un peu vigoureux. Il va provoquer un saignement impressionnant, mais sans gravité. Il est dû à la déchirure d’une petite artère qui le traverse. Dans ce cas, il faut comprimer la petite plaie avec une compresse stérile. Si la rupture est complète, la cicatrisation va se faire en quelques jours. Si elle est incomplète, il est préférable de consulter son médecin ou un urologue qui va soit la compléter, soit la réparer.
Sans aucun doute un peu mais pas complètement et tout dépend pour qui!
Décryptage
Pourquoi utiliser un site de rencontre?
Qui rencontrer?
Quelle est la finalité de cette rencontre?
Petit historique: les sites de rencontres sont, en quelque sorte, une émanation des annonces matrimoniales que l’on pouvait trouver, il y a encore quelques années dans de nombreux quotidiens.
Avec la libération des mœurs et la levée de la censure, la pornographie a commencé à se développer.
Des journaux et magazines libertins sont apparus. « Le petit libertin » créé dans les années « Giscard » avaient plusieurs pages d’annonces de rencontre à caractère exclusivement sexuelle: l’échangisme, par exemple » permettait de changer de partenaire sans remettre en question le couple (c’est très théorique). On peut dire qu’on en était encore à l’époque du Troc, l’être humain n’étant pas encore devenu une marchandise.
Pour être honnête, l’initiative de l’annonce était essentiellement masculine, ce qui ne veut pas dire que quelques femmes n’aient pas profité de la situation.
On constate, en effet, que le désir masculin et féminin n’est pas de même nature. Le désir masculin, surtout lorsque l’homme est jeune est dominé par le pulsionnel, c-a-d le sexuel alors que le féminin l’est par le relationnel, c-a-d l’affection, la tendresse, l’amour.
Le sexe étant secondaire chez la femme (en tant que conséquence), on ne trouvait que peu d’annonces de femmes à tel point que les éditeurs de ces revues d’annonces en créaient un certain nombre pour stimuler leur vente.
J’ai ainsi pu avoir entre les mains quelques milliers de lettres adressés à l’époque à des femmes imaginaires. Puis avec l’informatique est apparu en France le Minitel et plus particulièrement le MINITEL ROSE avec ses animatrices. à suivre…
Elle envahit inexorablement l’univers médiatique soulevant des réactions fortement contrastées dont nous allons faire l’écho dans ce dossier. Pourquoi est-ce si compliqué de définir la pornographie? Peut-on parler d’une histoire de la pornographie? Quels sont ses buts, ses cibles, pourquoi fait-elle peur à certains tandis qu’elle en fait rire ou en dégoûte d’autres? Que l’on soit pornophobe ou pornophile, autant savoir de quoi on parle, et mesurer la valeur de nos arguments en regard de notre culture, nos représentations sociales, notre éducation, nos principes. Et pour tous ceux qui veulent en savoir plus, une bibliographie et des sources internet…
– Définir la pornographie. Pornographie ou représentation explicite de la sexualité? Les repères historiques
– Pornographie et érotisme
– Les dangers de la pornographie
– Les chiffres qui « tuent », l’industrie pornographique, une affaire très lucrative…
-A quoi sert la pornographie?
– Le film X et l’expression du désir féminin
– Les féministes et la pornographie, la littérature féminine, l’hyperréalisme du discours sur le sexe
Le désir féminin est depuis longtemps pour la plupart des hommes, source de difficultés, d’interrogations, voire parfois d’incompréhension, jusqu’au jour de la « révélation ». Le désir féminin n’est pas, à priori, comme chez la plupart des jeunes hommes , d’ordre sexuel! Cela ne veut pas dire que la femme n’a pas d’intérêt pour son sexe, mais il est le plus souvent secondaire. Disons pour être un peu plus trivial qu’il a une fonction « complémentaire » à la relation affective.
J’exclue de mes propos les troubles du désir qui pourraient avoir une origine médicale (ils sont rares et sont la conséquences de pathologies complexes: hormonales, psychiatriques, etc).
Le temps de l’amour
Le désir féminin est d’abord narcissique: c’est avant tout le désir de plaire , d’abord de se plaire à elle-même puis de séduire , de conquérir, d’offrir; c’est celui d’une relation amoureuse; l’expression de son pouvoir peut aussi trouver sa place, de même le désir d’amitié. Tout cela n’est pas forcément conscient. Le sexe, ainsi que divers attributs qualifiés de sexuels, variables selon les cultures ne seront que des moyens, des outils, d’expression de ce désir qui n’est pas d’ordre sexuel comme peut l’être le désir masculin, constamment interpelé, lorsqu’il est jeune, par des érections plus ou moins intempestives!
Dans des culture traditionnelles, polynésienne, ou africaines, la poitrine n’est pas érotisée; la montrer ou l’exhiber ne présente aucun caractère sexuel, ce qui n’est pas le cas, aujourd’hui, en occident. Par contre, le maillot de bain style brésilien, très échancré aux hanches est considéré comme très érotique chez les polynésiens. Les pieds bandés l’était également dans la chine traditionnelle. Même s’il a été dénaturé avec le temps et la société, il n’en demeure pas moins que le vêtement ou les attributs vestimentaires ont un code porteur de sens et que ce sens est très variable d’une culture à une autre. A l’origine, si le vêtement servait à protéger, il avait aussi pour fonction de mettre en valeur, de pointer la partie du corps qu’il dissimulait.Jusqu’à une époque récente, ces codes vestimentaires ont pu persister dans notre société occidentale. Ce n’est plus le cas aujourd’hui, ils ont été remplacés par un consumérisme effréné, responsable d’une confusion des esprits.
L’histoire de Virginie
Néanmoins, il se sent bien avec elle, et il n’a pas envie de rompre, même si l’idée lui a traversé l’esprit et commence à souhaiter une famille, Virginie a maintenant 28 ans et le temps commence à presser. Le désir de Virginie semble se réactiver, surtout qu’elle a arrêté la pilule. Les rapports sont plus fréquents et reviennent amusants.
La grossesse
Les premiers jours de grossesse, c’est l’euphorie, puis apparaissent les premiers signes « sympathiques » qui n’ont rien de très sympathiques. S’ils sont assez fréquents comme les nausées, ils ne sont pas systématiques. Les rapports s’estompent, mais c’est surtout Alex qui n’est pas très à l’aise avec ce ventre qui augmente de volume: peur de blesser le fœtus ou présence « incestueuse » de cet « autre »?Quant à elle, Virginie se demande si elle est toujours désirable et apprécierait malgré son dos un peu douloureux un peu plus de manifestation du désir de Monsieur. L’accouchement approche, tout s’est bien passé jusqu’à présent et même s’il n’y a à priori aucune contrindication médicale (elles peuvent exister), il n’y a plus de rapport. Il règne au sein du couple un mélange d’angoisse, de bonheur, de fatigue. Tout cela n’est assez confus, chacun assurant son rôle. Après l’accouchement, l’état vulvaire de Virginie ne permet guère de fantaisie. Elle a pris un peu de poids, son ventre a perdu un peu de sa tonicité, ses seins sont un peu trop sensibles. Elle se sent peu désirable. Et si après le retour de couche, elle a quelques rapports, c’est vraiment pour lui faire plaisir. L’enfant, le quotidien, la fatigue du travail prennent de plus en plus de place; il reste le WE quand c’est possible et encore si on n’a pas à faire les courses de la semaine, ou chamaillé toute la semaine.
Le couple
Ils ont de moins en moins d’intimité! Quelles conséquences en attendre: Alex s’ennuie; il se sent terriblement frustré, rentre plus tard de son travail et envisage des aventures surtout qu’il ne laisse pas indifférent Elise, une rencontre sur un site spécialisé.
Autres conséquences
Antoine n’ose pas franchir le pas et passe beaucoup de temps à se masturber en regardant des pornos. Nathan passe beaucoup de temps en salle de sport et avec les copains. Pierre pense au divorce et en attendant se défonce au travail. Quant à Maryline, elle simule pour avoir la paix et éviter les conflits Tout cela n’est pas très réjouissant, mais représente la vie de 3/4 des couples.
Les solutions
Il y a pourtant des solutions: je les évoqueraient dans le prochain Post.